« Quand on re-traite les retraites », titre le Vent de la Liberté, dans son édition de juin 2003. Et dire que par le truchement du Sénat, Victor Reux traite les retraites qu’on re-traite », avec l’illusion d’avancer.
Car, « tant qu’à réformer, pourquoi ne pas pousser jusqu’au bout le raisonnement et aller vers un régime unique, plus simple et surtout plus juste ? », de conclure l’auteur de l’article. Observation judicieuse mais à mille lieues des orientations de l’UMP que soutient le député.
Car si l’utopie alimente les rêves de la survie, le « réalisme » dont les politiques se font les hérauts pétris de certitude, lui tord immédiatement le cou, parce que, tu le remarqueras, pour le pouvoir en place, il n’y a jamais le choix.
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
14 juin 2003