Jacques Chirac invitait les Corses à voter « oui », en faisant le choix de la République. Emile Zuccarelli, le député-maire de Bastia, chantait la Marseillaise après la victoire du « Non » qu’il appelait de ses vœux. « Cela prouve que la Corse a la moelle citoyenne et républicaine » a-t-il commenté.
Il n’y a guère en France que les Normands à avoir trouvé la réponse idéale aux interpellations du destin. P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non. Non ?
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
6 juillet 2003