Chronique du 14 février 2004

Je n’ai pas lu, je te l’avoue, les six pages de textes, sans illustration, du compte-rendu de la séance officielle du 30 janvier 2004, dans l’Echo des Caps du 13 février 2004. En ces temps de grippe généralisée et de tête dans le casque, autant s’éviter une nouvelle migraine, me suis-je dit. Aussi, me suis-je directement précipité sur la note finale de la rédaction. « Nos lecteurs comprendront, dit la note, vu la longueur des différentes déclarations, que nous ayons dû nous résoudre à n’en sélectionner que l’essentiel (…), en sacrifiant des détails explicatifs et autres commentaires ». Dommage, me suis-je alors dit, peut-être que les détails méritaient le détour…

Et j’ai poursuivi avec le Nota Bene : « Relire à ce sujet (le sujet étant quelque part dans les colonnes que je n’aurai pas lues), l’éditorial de Mme Claireaux dans notre N. 955 du 6 février dernier ». Me voilà illico replongé dans l’édito avec l’erreur de saisie confondant « échos » et « élus » corrigée dans l’erratum du numéro 956 que fort heureusement j’avais lu, sinon j’aurais été englué dans l’erreur.

« En bref », c’est le titre de l’erratum du numéro 956, je tombe presto sur un rectificatif d’état-civil qui me serait passé sous le pif si je n’avais pas eu le renvoi ci-dessus mentionné. (tu me suis toujours ?)

« Dans la rubrique « Etat-civil » du mois de janvier 2004, publié dans notre édition de la semaine dernière, dit l’Echo, une erreur de manipulation informatique vous donnait à lire : Décembre 2003, Décès… ». « En réalité il fallait lire NAISSANCE… »

Qu’ceq CSA ? me suis-je exclamé (comme on le fait sur France 2). Mordious ! Mortibus ressuscitum nom di Diou ! (Car sans le latin, que deviendrions-nous avec l’informatique qui fait des siennes en le perdant ?)

Et j’ai bu un coup à la santé du nouveau-né.

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
13 février 2004