1er juin 2004
Les travaux publics, c’est comme le lait, ça se sert souvent concentré. Mai appartient au passé et juin se conjugue à présent.(au présent si tu veux) Mais où sont ces chantiers qui sifflaient à tue-tête ? N’étaient-ils que belles paroles et billevesées ? C’est la faute à Rousseau, c’est la faute à Voltaire, si tout tombe par terre ? Hein ? Allez, creuse un petit peu, ce sera un premier pas.
Quant aux ouvriers du BTP, ils pourront toujours faire le pied de grue…
Bah ! Tant que j’ai les pinceaux en bouquets de violettes, de soupirer un qui en a vu d’autres….
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
1er juin 2004