Chronique du 2 avril 2005

Alors t’imagines bien que l’annonce, c’était pour te détendre les badigoinces. D’ailleurs, pour te donner un avant-goût de ce qu’aurait pu être mon programme, voici la première mesure proposée.

Chaque matin, au petit déj, ou après s’être brossé les ratiches, que chacun se mette à chanter – du chômeur à la personne âgée, en passant par ceux qui bossent du dos -, « Y a d’la joie bonjour bonjour les hirondelles / Y a d’la joie dans le ciel par dessus le toit / Y a d’la joie et du soleil dans les ruelles /Y a d’la joie partout y a d’la joie ».

De quoi se poiler sans faire un four.

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
2 avril 2005