Chronique du 27 octobre 2005 (2)

Profitons de l’automne, profitons de l’hiver, vaquons sans fièvre à l’ordinaire. Mais gare au printemps.

« Pour Saint-Pierre et Miquelon, “à court terme pour cet hiver, le risque d’introduction du virus par les oiseaux migrateurs apparaît nul”, souligne l’AFSSA, précisant que ce risque pourrait toutefois “être plus significatif au printemps suite aux trajets indirects liés à la migration prénuptiale des oiseaux”. », pouvait-on lire sur agrisalon.com en ce 26 octobre 2005.

Tout peut se gripper en effet entre fièvre politique et fièvre aviaire. Se volera-t-on dans les plumes au point d’aggraver les risques ? Marcherons-nous sur des œufs ?

Vite au clavier sans nom de plume ; la dose antivirale est prête.

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
26 octobre 2005

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