Pourquoi s’inventer une actualité quand tout peut être paisible ? Octobre s’est enclenché dans la torpeur propre à des jours d’été révolus. Certes la température a quelque peu chuté, mais les journées sont belles. Et chacun de vaquer au quotidien de l’ordinaire.
Aussi, foin de ces mots inutiles que l’on peut envoyer paître, place à cette photo prise dimanche 2 octobre 2005. Médite sur l’inattendu de cette scène qu’on pouvait croire d’un temps passé. Pour qui sont ces bestiaux qui voient passer les gueux ? (N’excluons pas que les vaches nous voient passer ainsi)
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
4 octobre 2005