Chronique du 9 octobre 2005

Eh oui ! Avec un pote expatrié – ça arrive, et pas toujours par choix -, on s’est dit qu’être le fils d’un « de Villepin » de fortune (exemple parmi d’autres possibles – je n’ai pas vérifié s’il avait un fils) te promet à des jours plus faciles que d’être la fille de Tartempion Lacambrousse.

Normal. Avec un blaze « de Villepin », tu ne peux que réussir à la ville et à la campagne, si tu décortiques, ça ne peut que permettre de ratisser large.

Quant à ceux du magma de la grande masse, de la grande nasse, de la grande lasse, de la grande casse (putain ! je n’ai pas dit de la « grande passe », on a du respect tout de même !), de la Grand’Basse (faut que tu sois d’ici pour que t’y repères) il suffit de s’interroger sur leurs frustrations…

Et d’en faire comme chez nous un rapport à tiroirs – pour meubler.

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
9 octobre 2005