La CFDT l’avait annoncé, une grève devait paralyser le secteur du commerce en cette mi-décembre 2005. Vingt personnes auront répondu à l’appel. L’Archipel fera donc l’économie de ce qui n’aurait pas été payant, fort probablement…, du moins si l’on s’en tient à l’interprétation de ce que n’a pas dit la majorité silencieuse qui par définition laisse, par son silence, la porte ouverte à toutes les interprétations. Pas question d’être le dindon de la farce en cette période de Noël, se seront dits certains ; cela n’aurait-il pas été l’occasion de ramasser une bûche ? d’observer un autre… Histoire d’imaginer quelques observations possibles.
Pour régler les conflits, il ne restera plus qu’à tirer à la courte paille avec le reste des crèches de Noël, pourrait conclure un candidat à l’arbitrage.
Le tout jeté sur le plateau de la balance, avec poids et mesure, naturellement.
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
12 décembre 2005