Villepin – Chirac ou la politique des « chevaliers des durs de l’esgourde » ?
Le premier croyait pouvoir démontrer que lui au moins – le non élu parmi les élus – allait savoir, à la différence des autres qui n’avaient pas su ; le second était sûr qu’il savait ce qu’il faisait en choisissant celui qui enfin saurait.
Du moins c’est ce que l’on en a dit. Va savoir…
Dominique de Villepin reste sourd ; dans les coulisses un autre sourd – dingue, finira-t-on par se dire -, se tapit, vert n’en doutons pas.
Dominique de Villepin, pour qui la précarité de l’emploi pour les jeunes, est nécessaire dans les principes mêmes qui définissent la première embauche, s’attache à préserver un seul emploi, le sien. Non, monsieur le Président, ne me renvoyez pas ! Voyez comme je vous protège !
La France s’enfonce ! Mais chez ceux qui s’agrippent au pouvoir, les feuilles mortes ne se ramassent pas à l’appel du peuple.
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
29 mars 2006