Chronique du 18 octobre 2006

Et l’on reparle des déchets.

En oubliant de mentionner que nous sommes en ce domaine, sur l’Archipel, totalement hors-la-loi. Non ? Et tant pis pour les problèmes de santé éventuels.

Mais s’il est des déchets qu’on n’aura pas su traiter c’est bien l’amoncellement d’études, effets de manches, voyages d’études et décisions vite oubliés, avec lesquels on aura pu amuser le gogo goguenard. N’allions-nous pas vers des solutions pérennes régionalisées ?

Les oiseaux pollués se cachent-ils pour mourir ? Les émanations diverses ont-elles une haute valeur cancérigène ajoutée ? Certes décharger pollue, comme l’on disait dans le langage d’antan.

Une autre mission est en cours. Elle produira un autre rapport.

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
17 octobre 2006