Chronique du 16 novembre 2006 (2)

Le Beaujolais nouveau n’est pas arrivé. Comme pour les présidentielles, nous vivons en décalage, sauf que dans ce cas nos frères métropolitains boiront la coupe les premiers.

Pour la gueule de bois, la durée peut en être si longue qu’un jour importe peu. Pour l’ivresse consumériste, un jour peut compter. Mais le plaisir s’accroît quand les faits se reculent, n’est-il pas vrai ? Surtout avec du beaujolais nouveau…

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
16 novembre 2006