Chronique du 11 janvier 2007

L’eau n’aura pas coulé longtemps dans les interstices d’un mur lézardé pour que le ton change en vingt-quatre heures dans l’affaire du « Goéland », le président du conseil général apparaissant plus conciliant dans ses propos.

Car la Collectivité est au pied du mur, l’attribution du marché pour la reconstruction du mur du Goéland ayant été annulée pour irrégularités à la base même de la procédure, l’urgence des travaux ne dispensant pas de ce respect.

Difficile sur le Caillou de fédérer les énergies. Il est vrai que le « mur des fédérés » est porteur d’une symbolique à donner froid dans le dos. Contentons-nous du mur des lamentations et prions pour que ça se décante. Que demain soit clair comme de l’eau de roche…

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
11 janvier 2007