Chronique du 16 décembre 2008

Pompes funèbres pour Georges Bush

Alors que le seigneur américain de la guerre voulait faire sa dernière tournée de gloriole en Irak, il aura suffi qu’un journaliste lui envoie ses pompes dans la tronche pour que la grandiloquence s’effondre sous la risée.

À une époque où l’on voudrait tout prévoir, tout encadrer, tout administrer, une paire de godasses est venue perturber le rationalisme des puissants.

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
16 décembre 2008