Le site internet de La Croix, quotidien dûment charpenté qu’on n’achète pas pour des clous, nous apprend en ce mois de février 2020 que « Le diocèse de Hong Kong suspend les messes pour lutter contre le coronavirus. Et ce, « du 15 au 28 février, y compris la liturgie du Mercredi des Cendres. »
On en conclut aisément que, face à ce diable de coronavirus, il vaut mieux éviter les messes que de s’écrier « A dieu vat ! »
Au coeur de cette épidémie diablement humaine, on retiendra que même Dieu est impuissant. Ou disons, pour le moins, que sur terre, on met sa puissance en doute.
Il suffit d’un virus pour tout gripper, sur terre comme au ciel.
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
16 février 2020