“Il était un digne dindon…”

Ce gouvernement, macronibus !, voudrait nous faire croire qu’il veut protéger les personnes vulnérables ? Il n’est pire duperie que la duperie volontaire, celle que l’on accepte sans sourciller.

Il envoie vers la tombe tous ceux qui sont privés de vie familiale, dans les EHPAD – triste pitrerie des rendez-vous hebdomadaires, temps limité dans des salles banalisées ! – , mais aussi au domicile de tout un chacun où les dégâts psychologiques auront un effet désastreux sur le moyen terme. Le coronavirus joue petits bras à côté de ces dépouilleurs de moyens publics pour assurer la santé de tout un peuple, au nom de la finance dérégulée.

Le ministre de la santé s’en va même à imaginer une privation de fêtes de Noël ? Tout un peuple serait donc le dindon de la farce macronvéranisée d’une république aux arrêts ?

Comme le dit une vieille chanson de mon enfance, des Pinsons : « Il était un digne dindon, c’était un dindon digne… »

Mais la dignité s’écrase difficilement dans l’oeuf…, quoi qu’en pensent les godillots.

Pendant ce temps, peut-on lire dans la presse : “Les 600 points de vente d’Auchan vont offrir des espaces aux libraires de France”. Au royaume de l’absurde, tout est possible.

Henri Lafitte, Chroniques insulaires

1er novembre 2020

Un peu d’humour : https://www.youtube.com/watch?v=94BNXIEFu9I