Chronique du 1er avril 2005 (2)

Voilà que le crabe ne peut plus être transformé, parce qu’il faut le vendre. Et comme on l’exporte chez nos voisins, le dollar se trouve être trop faible par rapport à l’euro.

Conclusion : on a beau en pincer pour notre crabe, il coûte trop cher.

Autre conclusion : il faudrait que l’Etat ou la Collectivité compensent.

Ne risque-t-on pas d’entendre répondre (en mangeant les mots) : qui l’eût cru ? C’t assez.

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
1er avril 2005