Voilà que le crabe ne peut plus être transformé, parce qu’il faut le vendre. Et comme on l’exporte chez nos voisins, le dollar se trouve être trop faible par rapport à l’euro.
Conclusion : on a beau en pincer pour notre crabe, il coûte trop cher.
Autre conclusion : il faudrait que l’Etat ou la Collectivité compensent.
Ne risque-t-on pas d’entendre répondre (en mangeant les mots) : qui l’eût cru ? C’t assez.
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
1er avril 2005