Une bonne chose avec le virus de la grippe aviaire : les hommes risquent de ne plus se voler dans les plumes, principe de précaution oblige. Plus de prises de bec en perspective. Bref, la sérénité retrouvée ; en route vers le paradis terrestre.
Dans la foulée, le respect l’emportera. Qui osera se coltiner aux poulets ?
Certes faudra-t-il trouver du grain à moudre, mais en se méfiant des oiseaux de mauvais augure.
Comme quoi chaque crise pandémique peut être source de renouveau.
Henri Lafitte, Chroniques insulaires
17 octobre 2005