Chronique du 5 août 2006

Selon une première enquête auprès de quelques centaines de touristes venus nous visiter, notamment d’origine québécoise, le bouche à oreille est ce qui aura prévalu pour les déterminer à venir visiter nos îles.

Conclusion : revoyons nos modalités de promotion, invitons quelques couples à haute valeur reproductive, signataires de l’acte d’engagement suivant : « Croissons et multiplions nous ». Au bout de quelques générations, le tourisme aura ainsi trouvé son rythme de croisière. Peut-on extrapoler en en déduisant que le « cause toujours ça m’intéresse » peut être la source de notre développement ?

Henri Lafitte, Chroniques insulaires
5 août 2006